Série TV – Cosmos 1999 (1975-78)

Cosmos 1999 se distingue comme l’une des quelques séries SF majeures du milieu des années 1970, et peut-être comme la première de ces séries à être coproduite à l’échelle internationale, voie qui fut suivie plus tard par des séries telles que Farscape et Lexx. Martin Landau (le commandant John Koenig) et son épouse Barbara Bain (le docteur Helena Russell) – tous deux auréolés du succès de la Paramount : Mission Impossible – ont eu les rôles principaux de la série, Landau en particulier, et certains épisodes furent même modifiés à leur demande. Le troisième acteur important de la série est le canadien Barry Morse, qui interprète le rôle du scientifique en chef de la base, Victor Bergman.

Cette série italo-britanique, diffusée entre le 4 septembre 1975 et le 7 mai 1978, fut en quelque sorte la suite de la série “UFO, alerte dans l’espace” créée en 1970 par Gerry et Sylvia Anderson. Lors de sa diffusion aux États-Unis, la série UFO connut au départ un grand succès. Il fut donc décidé de lancer une deuxième saison qui se serait située sur une base lunaire, dix ans après les événements relatés dans UFO. Mais les audiences s’effondrèrent et le projet fut abandonné. Gerry Anderson récupéra le travail préparatoire de la deuxième saison de UFO pour créer Cosmos 1999. Cette série fut la plus chère de l’époque, avec un budget estimé à 30 millions de francs pour les 24 premiers épisodes.

Bien que la première saison ait été vendue à plus de 100 pays, dans lesquels la série a connu un relatif succès, elle n’avait pu être vendue aux grands réseaux de télédiffusion américains (NBC, ABC..) et avait été diffusée de manière plus confidentielle sur des chaines américaines secondaires. Jugée trop intellectuelle pour un public américain, la saison 2 laisse place à plus d’action.

La seconde saison est produite non plus par les Anderson mais par Fred Freiberger, producteur américain spécialisé dans les séries TV, qui avait lancé entre autres Les Mystères de l’Ouest. Contraint de rendre la série « acceptable » pour le public américain, en termes tant de scénarios que d’esthétique, Fred Freiberger restructura la série, allant jusqu’à s’assurer que la signalétique de la Base Alpha respectait bien des termes américains plutôt que britanniques. Mais peine perdue, la série ne marcha pas aux U.S.A. ni d’ailleurs en Europe.

Une saison 3 de la série était prévue. Elle devait être composée de 13 épisodes et les tournages devaient débuter à l’automne 1977. Mais les négociations avec les chaînes américaines n’aboutirent pas.

L’histoire : 

Nous sommes en 1999 et une base a été construite sur la Lune. Alpha est chargé de surveiller le lieu de stockage des déchets nucléaires expédiés de la Terre et mène par la même occasion des recherches scientifiques. La base lunaire Alpha compte 311 membres d’équipage dirigés par le commandant Koenig. Le 13 septembre 1999, une catastrophe frappe. Les déchets nucléaires explosent suite à une réaction en chaîne, et la Lune est projetée hors de l’orbite de la Terre, dans l’espace profond. Ainsi commence l’aventure de Cosmos 1999.

Voir sur YouTube : “Cosmos 1999 S01 E01 “A la dérive” complet en francais” et “Cosmos 1999 S01 E23 “Le domaine du dragon” complet en français” par guilloux laurent

Youngtimer – Mercedes 450 SEL 6.9 (1975-79)

Le meilleur possible en automobile, sans concessions aucune, n’a été l’apanage que de très rares modèles. La 450 SEL 6.9 compte, sans aucun doute de ceux-là. L’extrême sophistication des solutions techniques retenues pour ce monstre, réussit à en faire une voiture parfaitement domestiquée.

Un record de sophistication :

Née il y a 40 ans, la 450 SEL 6.9 possédait déjà beaucoup d’équipements avant-gardistes pour l’époque : citons sur le plan technique les poussoirs hydrauliques de soupapes à rattrapage de jeu automatique, le correcteur hydropneumatique d’assiette et le train avant antiplongée, les 4 freins à disques ventilés. Au niveau des équipements de confort, la liste n’était pas moins complète, telle la temporisation de plafonnier, le cruise control, la climatisation automatique réglable, les lave-phares, etc…

Autobahn kurier : 

Le “coureur d’autoroute” fut un surnom déjà donné à Mercedes dans les années trente. Mais ce surnom prend tout son sens avec la 450 SEL 6.9, qui est capable de croiser et d’enrouler les courbes à 200 km/h dans un silence total, d’accélérer avec vivacité depuis pareille vitesse de croisière, et même d’arrêter ses deux tonnes sur une distance très sécurisante.

Caractéristiques : 

Moteur : V8 à 90° ; 6 834 cm³ ; injection mécaniqure Bosh ; allumage transistorisé ; 268 ch à 4250 tr/mn ; couple : 56 m/kg à 3000 tr/mn
Transmission : propulsion ; Boîte automatque 3 rapports et convertisseur de couple ; différentiel autobloquant à 40%
Carrosserie : berline
Dimensions : Longueur : 5060 mm ; Largeur : 1 870 mm ; Poids : 1980 Kg
Performances : Vitesse maximale : 225 km/h
Production : 7380 exemplaires

Prix du modèle neuf : 180.000 Francs en 1975 soit 138.389 € avec 404 % d’inflation sur la période.

Prix d’occasion : Entre 30.000 et 40.000 €

C’était un Rendez-vous :

“En 1976, Claude Lelouch se lance un défi pas banal : réaliser un court-métrage d’une séquence, sans montage. Jusque-là, tout va bien. Mais quand cette séquence se révèle être une traversée de Paris très tôt le matin, au volant d’un bolide, le tout sans jamais s’arrêter, ça coupe le souffle ! Provocant immédiatement la polémique, “C’était un rendez-vous” est bien plus qu’un film, c’est toute une époque. Si toute la bande sonore a été enregistrée à bord d’une Ferrari 275 GTB, les images du film, elles, ont été tournées à bord de la… Mercedes 450 SEL 6.9 de Claude Lelouch ! Tous les détails du tournage seront révélés lors d’une interview du réalisateur en 2006. On y apprend que la suspension de la Mercedes permettait d’avoir une image qui ne tremble pas trop, ce qui aurait été impossible à bord d’une voiture de sport comme une Ferrari de l’époque.” Source : l’automobile Sportive

Voir sur Dailymotion : “Un Rendez-Vous – Claude Lelouch”

Disque – Isabelle Mayereau – Souffle en l’Air (1978)

Avec son jazz-blues délicatement nuancé accompagné de paroles qui traversent les années en gardant toujours la même teinte poétique aux accents nostalgiques, Isabelle Mayereau a le don de réveiller jusqu’à nos plus lointains souvenirs et de les magnifier grâce à l’alchimie de ses mélodies simples mais envoûtantes. Portées par sa voix douce qui nous cajole, ses chansons transcendent les choses de la vie et les transforment en joyaux. Elle fait figure d’ovni dans le paysage musical français tout comme Gérard Manset ou Jeanne-Marie Sens.

Née à Bordeaux dans un milieu bourgeois, elle apprend à jouer de la guitare à l’adolescence avec un professeur espagnol qui lui fait connaître Paco Ibáñez et Georges Brassens ; elle découvre ensuite Barbara et Jimi Hendrix. Après son bac, elle devient styliste de mode tout en continuant à écrire et composer des chansons qu’elle souhaite donner à d’autres interprètes. Cependant ses proches réussissent à la convaincre de les enregistrer elle-même.

Ainsi, en 1977, pour ses trente ans, elle signe un contrat chez AZ et sort son premier 33 tours, (dont elle écrit et compose toutes les chansons) qui est orchestré par Jean Musy et dirigé artistiquement par Jacques Bedos. Voici ce qu’elle en dit sur la couverture du premier CD de Parcours (2016) :

“Premier album, Quelle aventure ! Un vendredi après-midi, appel de Jacques Bedos, directeur artistique de Dick Annegard, Maxime le Forestier, Georges Moustaki, Serge Reggiani, etc… Proposition d’album. Belle surprise, émoi, temps de réflexion. J’accepte. Jean Musy est aux orchestrations, patrice Kef fait la prise de son. Délicatesse, humour, magie, bonheur pur !” 

Sur cet album, plusieurs chansons remportent un succès d’estime notamment : “Hash” et “Standing”

En 1978, elle remporte le premier prix du festival international de la chanson française de Spa avec le titre “Tu m’écris” qui figure sur l’album Souffle en l’air. Tout le monde se souvient de ses paroles nostalgiques et de la mélodie accroche-oreille qui les accompagne, un pur bonheur ( Tu m’écris, tu m’écris, Sur papier d’Arménie, Des mots à, des mots à, À parfumer mon lit. Je dessine, je dessine, Sur papier d’harmonie, Des notes à, des notes à, À chatouiller ton ouïe. Et le temps passe comme ça, Douceur de papier soie, Et le temps passe comme ça, Di, di, di, di…)

Évoquons aussi “Stars Fantômes” (Sur les vapeurs d’un tilleul-menthe, J’ai des visions ectoplasmiques, C’est Diane Arbus à bicyclette, Cinquième avenue, New-York peut-être. Jimmy Hendrix joue du clavecin, Dans un break Dodge dix-neuf-cent-vingt, Et le vieux Satchmo ne sait plus bien, Si Kid Ory est musicien…) et l’amusant “Trois Kilos” tirés du même album (J’ai pris trois kilos, J’ fais des haltères et du judo, Je mange des clous et je bois d’ l’eau, J’ fais une gymnastique bizarre, On s’ couche par terre, un peu dans l’ noir, On prend connaissance de son corps, Comme d’un véritable trésor…)

Elle sort ensuite 4 autres albums dans les années 80, son style d’arrangements, assez dépouillé au départ laissant de plus en plus de place aux programmations synthétiques (“Déconfiture”, “Bordeaux”).

De 1987 à 1996, elle quitte la scène médiatique et les studios d’enregistrement.

Elle revient en 1997 sur le label Touchstone avec l’album Juste une amertume.

En 2004, une deuxième compilation CD story paraît.

En 2010, elle est nommée chevalier des arts et des lettres par le ministre de la culture Frédéric Mitterrand.

En 2016, la totalité de ses 9 albums studio est rééditée en CD dans le coffret Parcours, une intégrale, qui restitue les chansons dans l’ordre exact des éditions d’origine. La compilation est accompagnée d’une tournée : Prochaine date : 3 mars 2017 – Le Carroi – La Flèche (72)

Son site

Discographie :

1977 : L’Enfance
1978 : Souffle en l’air
1979 : Déconfiture
1980 : Des mots étranges
1982 : Nuages blancs
1984 : Les Mouches
1987 : Film noir
1997 : Juste une amertume
2009 : Hors piste
2016 : Parcours (Intégrale 5 CD)

Voir sur YouTube : “Isabelle Mayereau “Tu m’écris” (live officiel) | Archive INA” par Ina Chansons

Youngtimer – Rolls-Royce Camargue (1975-1987)

Elle fut construite sur le châssis et avec la transmission de la Silver Shadow ; elle avait aussi son moteur ; mais elle fut la première Rolls à être élaborée sur des bases métriques, peut-être en raison de la collaboration avec un bureau d’étude italien pour la conception de la ligne de sa carrosserie. Il était plus malaisé d’accéder aux places arrières de la Camargue qu’à celles de la Silver ; enfin, ses performances ne dépassaient en rien celles des berlines de Rolls-Royce. Et pourtant, elle coûtait 30.000 £ à sa sortie soit près du double d’une Silver Shadow. C’est que la Camargue, outre son luxe exceptionnel, fut la première à avoir un conditionneur d’air automatique musclé qui équivalait à plusieurs dizaines de réfrigérateurs.

Une ligne signée Pininfarina :

Rolls-Royce avait demandé à Pininfarina d’élaborer un coupé original sur la base de la Silver Shadow, respectueux de la tradition de Rolls-Royce et répondant aux canons esthétiques de la fin des années 70. A sa sortie, le style néoclassique signé Pininfarina, bien que loué par certains, ne fit pas l’unanimité. Des journalistes évoquèrent la carrosserie de la Fiat 130 Coupé (très raffinée d’ailleurs) ; il faut dire que c’est le même styliste qui se cache derrière ces deux voitures : Paolo Martin.

Une vrai Rolls : 

Aucun doute, la Camargue était une vraie Rolls : siège revêtus des plus fines peaux, tableau de bord en bois précieux, intérieur et coffre tapissés de moquette, commandes électriques multiples, régulateur de vitesse électronique, quadriphonie, etc… Malgré son prix très élevé, elle fut un succès dès son apparition (essentiellement sur le marché américain) et Rolls-Royce ne put faire face aux commandes ;  il est vrai que le rythme de production était relativement faible (5 unités par mois au départ mais beaucoup plus par la suite). Commercialisée entre 1975 et 1987, la Camargue n’évolua que très peu pendant la durée de sa commercialisation, et fut vendu à 531 exemplaires.

Caractéristiques : 

Moteur : 6,75 L V8
Position du moteur : Avant
Cylindrée : 6750 cm3
Puissance maximale : 240 ch à 4500 tr/mn
Boîte de vitesses : Boîte automatique
Poids et performances : Poids à vide : 2329 kg ; vitesse maximale : 190 Km/h
Consommation mixte : 30 L/100 km
Carrosserie : Coupé 2 portes
Châssis : Rolls-Royce Silver Shadow
Dimensions : Longueur : 5169 mm ; Largeur : 1918 mm ; Hauteur ; 1473 mm ; Empattement : 3048 mm

Prix du modèle neuf en 1983 : 1.284.000 Francs soit 424.516 € avec 117 % d’inflation sur la période.

Prix actuel : Entre 30.000 et 70.000 € selon l’état.

Rétroactu 1978 – Série TV : Starsky et Hutch (1975-79)

Quelques évènements de l’année 1978 :

6 janvier : Adoption de la Loi informatique et libertés.
11 janvier : Première diffusion du Loto.
14 janvier : La base militaire aérienne de Solenzara plastiquée par des autonomistes corses.
19 janvier : La 16.500.000e et dernière « Coccinelle » sort des usines Volkswagen de Wolfsbourg en Allemagne.
21 janvier : L’Algérie nationalise cinq sociétés pétrolières françaises.
23 janvier : France : Le baron Empain, célèbre industriel, est enlevé, avenue Foch, à Paris.
24 janvier : Le satellite espion soviétique Cosmos 954, équipé d’un réacteur nucléaire, s’écrase sur les Territoires du Nord-Ouest au Canada.
11 mars : Mort de Claude François (chanteur français).
14 mars : Invasion du Liban du Sud par l’armée israélienne.
16 mars : Enlèvement du chef de la démocratie-chrétienne italienne Aldo Moro par les Brigades rouges.
17 mars : Marée noire en Bretagne : marée noire en Bretagne avec le naufrage du pétrolier géant Amoco Cadiz.
18 avril : Les États-Unis ratifient leur traité avec Panama sur le Canal de Panama. La zone du canal est attribuée à Panama. Le canal lui-même demeure américain jusqu’en 1999, date à laquelle il devra passer sous souveraineté panaméenne.
9 mai : Assassinat d’Aldo Moro, président de la Démocratie chrétienne.
11 mai : Deuxième guerre du Shaba.
19 mai : Sauvetage de Kolwezi.
25 juillet: Naissance de Lucie Brown, premier “bébé éprouvette”.
6 août : décès du pape Paul VI.
10 août : Peugeot rachète les usines de Chrysler en Europe.
26 août : Élection de l’archevêque de Venise, Albino Luciani, qui devient le pape Jean-Paul Ier. Mort de Charles Boyer (acteur franco-américain).
17 septembre : Accords de Camp David entre l’Égypte et Israël. Il réaffirment que la résolution 242 reste le cadre de référence des négociations. En échange de l’établissement de relations normales entre l’Égypte et Israël, Begin s’engage à rendre par étape toute la péninsule du Sinaï occupé en 1973 et à y démanteler ses implantations de colons. L’Égypte ne peut y effectuer qu’un déploiement militaire limité. Pour la Cisjordanie et Gaza, les parties appellent à la conclusion d’accords transitoires d’un période de cinq ans. L’État hébreu promet de geler l’installation de colonies de peuplement en Cisjordanie pendant les négociations de paix, sans préjuger de la souveraineté future de la région. Israël accepte l’instauration d’une « autorité autonome » arabe élue dans les territoires occupés. La Jordanie sera associée à ce processus.
28 septembre : Décès du pape Jean-Paul Ier après seulement 33 jours de pontificat.
6 octobre : L’ayatollah Khomeiny, opposant au chah d’Iran, trouve refuge en France à Neauphle-le-Château.
9 octobre : Décès de Jacques Brel (chanteur et acteur belge).
15 octobre : Les sportifs Pierre Mazeaud, Jean Afanassieff et Nicolas Jeager sont les premiers français à réussir l´ascension de l´Everest.
16 octobre : L’archevêque de Cracovie, Karol Wojtyla, est élu pape sous le nom de Jean-Paul II, après deux jours de conclave et huit tours de scrutin. Jean-Paul II , âgé de 58 ans, est le premier pape non italien depuis 1522. Son élection encourage les aspirations des Polonais à la liberté intellectuelle et politique.
17 octobre : le prix Nobel de la paix est attribué à l’Égyptien Anouar el-Sadate et à l’Israélien Menahem Begin.
9 novembre : Épopée du Haï Hong ; début de la crise des « boat people ».
16 novembre : Disparition d’Alain Colas (navigateur français).
18 novembre : 914 membres de la secte américaine Temple du Peuple, conduite par Jim Jones, se donnent la mort à Jonestown en Guyana.
20 novembre : Mort de Giorgio de Chirico (peintre italien).
25-29 novembre : Début du Printemps de Pékin.
4 décembre : Création du système monétaire européen (SME). Il entre en vigueur le 13 mars 1979 avec huit membres (le Royaume-Uni restant en dehors).
8 décembre : Mort de Golda Meir (femme politique israélienne).
25 décembre – 11 janvier 1979 : Guerre Cambodge-Viêt Nam.
27 décembre : Mort de Houari Boumédienne (homme politique algérien).

Série TV : Starsky et Hutch (1975-79) :

Starsky et Hutch (Starsky & Hutch) est une série télévisée américaine de 92 épisodes de 48 minutes (et un pilote de 70 minutes), créée par William Blinn et diffusée entre le 30 avril 1975 et le 15 mai 1979 sur le réseau ABC. En France, la série a été diffusée pour la première fois du 11 juin 1978 au 9 décembre 1984 sur TF1.

Cette série met en scène deux policiers de Bay City (Californie), une ville imaginaire calquée sur Los Angeles – toutefois dans un des épisodes, Hutch déclare faire partie de la police de Los Angeles, on aperçoit aussi sur les voitures de patrouille le sceau de la police de Los Angeles. Le brun David Michael Starsky (Paul Michael Glaser), ayant grandi dans les rues de New York est un peu naïf et très extraverti, tandis que son acolyte, blond, Kenneth « Hutch » Hutchinson (David Soul), est plus réservé et réfléchi. Malgré leurs apparentes différences, ils sont comme des frères l’un pour l’autre. Aidés par leur ami « Huggy Bear » (Antonio Fargas) (dit « Huggy les bons tuyaux » dans la version française), ils résolvent les affaires qui leur sont adressées par leur capitaine Dobey (Bernie Hamilton) de façon peu conventionnelle et très musclée. À l’appel de leur nom de patrouille « Zébra Trois», ils se lancent fréquemment dans d’épiques courses-poursuites au volant de leur emblématique Ford Gran Torino rouge zébrée de blanc.

Lien

Voir sur Dailymotion : JT Antenne 2 20h : 9 octobre 1978 “Jacques Brel est mort” – Archive vidéo INA

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