Youngtimer – Peugeot 604 (1975-85)

Présentée au Salon de Genève de 1975, la nouvelle grande berline de Peugeot se préparait à concurrencer les BMW et autres Mercedes. Si Peugeot avait choisi de rester dans le plus grand classicisme, cela n’excluait pas une mécanique moderne procurant des qualités routières séduisantes. Son moteur était en effet le six cylindres PRV (qui équipait aussi la Renault 30), avec en option la boîte automatique General Motors fabriquée à Strasbourg.

Un véhicule élégant, sûr et confortable :

Comme il convient à un tel véhicule, du coffre à la calandre à quatre phares, la ligne est on ne peut plus classique. Bien dessinée (par Pininfarina en collaboration avec Paul Bracq), bien équilibrée, elle s’orne de baguettes chromées qui symbolisent les voitures raffinées. La tenue de route est exemplaire, virages et courbes se prennent avec la plus grande facilité. La direction assistée est très réussie, car elle permet non seulement une grande précision sans efforts, mais également de placer la voiture avec exactitude sur la trajectoire choisie en conduite urbaine ou sur la route. Mais là où la 604 se révèle parfaite, c’est au niveau du freinage, puissant, équilibré et très endurant en usage intensif avec ses 4 freins à disque, ventilés à l’avant. La voiture est aussi très confortable grâce à une suspension à grand débattement, (quatre roues indépendantes, une suspension avant système MacPherson et arrière à bras tirés, ressorts hélicoïdaux et amortisseurs télescopiques) permettant aux inégalités du revêtement routier d’être absorbées d’une façon surprenante. À l’intérieur, les cotes d’habitabilité sont généreuses, même à l’arrière et l’accessibilité est excellente. Enfin, l’habitacle est bien insonorisé. Ses rares défauts : le moteur manque de souplesse, son poids est élevé ainsi que sa consommation surtout sur les premiers modèles à carburateurs. Les options : la sellerie cuir, l’air conditionné, le toit ouvrant et la boîte automatique.

Les différents modèles : 

1976 : Arrivée des 604 SL V6 et 604 SL V6 Automatique.
1978 : La 604 TI V6  à boîte 5 vitesses est dotée d’un circuit d’injection et d’un allumage Bosh K-Jetronic.
1979 : Lancement de la 604 D Turbo, première voiture à moteur diesel équipé d’un turbo vendue en Europe . La cylindrée est de 2304 cm3 pour 80 ch.
1980 : 604 TI “Grand Confort”.
1981 : Versions STI et SRD Turbo. La D Turbo devient GRD Turbo.
1982 : Arrêt de la 604 SL.
1983 : Les versions TI et GRD Turbo sont supprimées du catalogue.

La 604 est fabriquée jusqu’en 1985. Le stock considérable permettra à Peugeot de la laisser au catalogue 1986. Elle sera remplacée en 1989 par la 605.

Caractéristiques Techniques : Voir brochure ci-dessous.

Prix du modèle neuf en 1979 : 56.400 F soit 29.700 € avec 256% d’inflation.

Prix d’occasion : à partir de 1500 €.

Série TV – Mannix (1967-75)

Mannix est une série télévisée policière américaine composée de huit saisons de 24 à 25 épisodes durant 50 minutes chacuns, créée par Bruce Geller, Richard Levinson et William Link et diffusée entre 1967 et 1975 sur le réseau CBS. En France, la série a été diffusée à partir de janvier 1969 sur la Première chaîne de l’ORTF et rediffusée récemment sur Canal Jimmy et sur Vivolta.

Le thème :

Joe Mannix (Mike Connors) est dans un premier temps un détective, employé par Intertect, une firme de détectives privés dirigée par Lew Wickersham et basée sur Wilshire Boulevard à Los Angeles. Elle utilise l’informatique et la hi-tech pour faciliter ses enquêtes. Joe Mannix quitte cet organisme après la première saison pour démarrer sa propre affaire où il compte moins sur les gadgets sophistiqués et les bases de données d’Intertect que sur ses propres déductions et sur son crochet droit. Ce vétéran de la guerre de Corée est remarquablement doué et enchaîne des combats de poing, des courses poursuites automobiles à grande vitesse et parfois même se fait blesser dans la foulée (une bonne quinzaine de fois sur les huit saisons).

Malgré sa belle apparence chic et décontractée – possédant même un téléphone dans sa voiture ce qui était très rare au début des années 70 ! – et une énorme variété de vestes et blazers appuyant sa séduction auprès des femmes, il semble vouloir rester célibataire. La seule femme qui est présente constamment dans sa vie est sa fidèle secrétaire (souvent kidnappée), Peggy Fair (Gail Fisher). C’est la veuve afro-américaine d’un policier tué pendant son service, et elle a un fils qui s’appelle Toby. En 1970, ce rôle valut à Gail Fisher un Emmy Award de meilleure comédienne de second plan.

En fait, la relation entre l’employée et l’employeur – souvent réconfortante et occasionnellement en désaccord – est toujours respectueuse et professionnelle et même parfois affectueuse. Dans la série TV, Peggy faisait partie intégrante de l’agence, plus qu’une simple secrétaire, contrôlant les antécédents des personnes impliqués, démêlant les enquêtes avec Joe Mannix et le sauvant fréquemment  de la prison ou de l’hôpital local. Cela ne lui faisait d’ailleurs pas peur d’être menacée ou kidnappée une ou deux fois par saison.

Mannix s’est arrêté au milieu des années soixante-dix pour laisser la place à de nouvelles séries policières, parmi lesquelles Cannon est sûrement la plus célèbre. Soudain, Joe Mannix passait un peu pour un dinosaure. Tout ce qu’il faisait était de résoudre des enquêtes, et souvent avec ses poings. Pour beaucoup, Joe Mannix semblait soudain démodé, même pittoresque. Mais ces huit saisons glorieuses, auront marqué beaucoup d’entre nous.

Mike Connors est mort le 26 janvier 2017 à Tarzana (Los Angeles), à l’âge de 91 ans.

Voir sur YouTube : Mannix générique

https://www.dailymotion.com/video/x8npsh

Rétroactu 1975 – Émission TV : Samedi est à vous (1975-76)

Quelques évènements de l’année 1975 :

1 janvier : L´ORTF est démantelée en sept sociétés dont TF1, Antenne 2 et FR3.
9 janvier : Décès de Pierre Fresnay (acteur français).
3 février : Début de la guerre civile angolaise.
9 février : Mort de Pierre Dac (humoriste français).
11 février : Margaret Thatcher conduit le parti conservateur au Royaume-Uni.
17 février : La loi sur l’IVG (interruption volontaire de grossesse), défendue par Simone Veil, est promulguée en France. L’avortement devient légal.
1er avril : Création du mensuel fluide glacial par Marcel Gotlib.
4 avril : Création de l’entreprise Microsoft.
12 avril : Décès de Joséphine Baker (chanteuse française d’origine américaine).
13 avril : Début de la guerre du Liban.
17 avril : Prise de Phnom Penh par les Khmers rouges.
12 avril : Décès de Joséphine Baker (chanteuse française d’origine américaine). L’Aéroport de Lyon-Satolas (aujourd’hui appelé Saint-Exupéry) est inauguré par Valéry Giscard d’Estaing, Président de la République Française.
24 avril : La dernière DS sort des chaînes de fabrication de Citroën.
25 avril : Mort de Mike Brant (chanteur israélien)
30 avril : Chute de Saigon.
30 mai : Mort de Michel Simon (acteur français d’origine suisse)
5 juin : Après huit ans de fermeture suite à la guerre des six jours, le canal de Suez est réouvert.
Juin : Mouvements de révolte en Inde.
11 juillet : La loi autorise en France le divorce par consentement mutuel. Avant cette loi, les époux devaient inventer de fausses preuves d’insulte ou d’adultère.
15-24 juillet : Mission Apollo-Soyouz.
9 août : Décès de Dmitri Chostakovitch (compositeur soviétique)
9 octobre : Le prix Nobel de la paix est attribué au Soviétique Andreï Sakharov, qui ne peut pas aller chercher son prix.
15 novembre : À Rambouillet (France), le président Valéry Giscard d’Estaing réunit les chefs d’État des cinq pays les plus industrialisés (États-Unis, Japon, RFA, France et Royaume-Uni), réunion informelle qui se tiendra désormais annuellement avec le Canada et l’Italie, formant le G7.
17 octobre : Espagne : une attaque cardiaque terrasse le Caudillo. Son entourage, devant l’incertitude de sa succession, tente de le prolonger médicalement.
20 novembre : Mort de Franco, chef de l’État espagnol après une longue maladie et fin de la dictature franquiste commencée le 1er avril 1939.
22 novembre : Juan Carlos de Borbon y Borbon proclamé roi d’Espagne sous le nom de Juan Carlos, prête serment devant les Cortes.
25 novembre : Portugal : échec du putsch militaire gauchiste d’Otelo de Carvalho ; António Ramalho Eanes devient alors chef d’état-major de l’armée, qui est épurée de ses éléments extrémistes.

Émission TV – Samedi est à vous (1975-76) :

Samedi est à vous était une émission TV proposée par Guy Lux et présentée par Bernard Goley. C’était la première émission interactive de la télévision française, permettant à chacun de voter pour sa série préférée au standard de SVP 11 11. Elle s’appelait au départ “La Une est à vous” de septembre 1973 à janvier 1975 puis fut baptisée “Samedi est à vous” à l’éclatement de l’ORTF en janvier 1975 (l’émission fut programmée jusqu’au mois d’octobre 1976). Mannix faisait partie des nombreuses séries proposées (avec Mission Impossible, l’Homme Invisible, Arsène Lupin, Vidocq, Les Mystères de l’Ouest, Au Nom de la Loi, Cannon, Sam Cade, Les Envahisseurs, Amicalement Vôtre, Chapeau Melon et Bottes de Cuir, Cosmos 1999,…).

(Photo de présentation : Samedi est à vous” , 1975).

Voir sur YouTube : “SAMEDI EST A VOUS / BERNARD GOLAY” par Tony BLAKE ; “Les coulisses de TF1 rue Cognacq-Jay en 1975 | Archive INA” par Ina Culte

Album – Lush – Split (1994)

Lush est un groupe de rock alternatif anglais formé à Londres en 1987. À ses débuts, le groupe était composé de Miki Berenyi (voix, guitare), Emma Anderson (voix, guitare), Phil King (basse) et Chris Acland (batterie). Ils ont été l’un des premiers groupes à appartenir au mouvement “shoegazing” (dénommé ainsi parce que les musiciens de ces groupes jouaient sur scène d’une manière très introspective qui laissait penser qu’ils contemplaient (gazing at) leurs chaussures (shoe). Leur musique shoegazing était caractérisée par l’usage significatif d’effets de guitare, et de mélodies vocales indiscernables se mêlant à un son créatif. Après la mort du batteur Chris Acland, Lush s’est dissout en 1996.

Le groupe s’est formé en 1987 à Londres, initialement nommé Baby Machines (d’après un couplet de la chanson de Siouxsie et Banshees “Arabian Knights”), avec  Meriel Barham (voix), Anderson (guitare, voix), Berenyi (guitare , Voix), Steve Rippon (basse) et Chris Acland (batterie). Anderson et Berenyi avaient été amis de l’école, se connaissant depuis le début des années 1980, et ont publié ensemble le fanzine Alphabet Soup. En 1986, Anderson rejoint les Rover Girls en tant que bassiste, et Berenyi a rejoint les Bugs, également en tant que bassiste. Aucun des deux groupes n’a duré longtemps et, en 1987, ils ont rejoint Barham et Acland des Baby Machines. Rippon s’est joint peu de temps après, et les membres du groupe ont décidé de s’appeler Lush, faisant leurs débuts en live au Camden Falcon le 6 mars 1988. Barham a quitté le groupe et a ensuite rejoint Pale Saints. Berenyi a ensuite assumé des fonctions de chanteuse principale.

Anderson dit des débuts du groupe : “Au départ on était branchés Punk Rock. On se disait, si les autres groupe en font, p….n nous aussi on peut! Fondamentalement, notre idée était d’avoir des guitares extrêmement bruyantes avec des voix beaucoup plus faibles. Et, vraiment, les voix étaient plus faibles…” Berenyi déclare aussi : “On a commencé par faire du Punk rock hardcore, mais c’était une attitude juvénile. Il y a eu un changement très rapide à partir de la minute où nous avons commencé à enregistrer des disques. La musique et les paroles sont devenues beaucoup plus réfléchies et expressives, c’était plus important, vraiment. Je me souviens de ce changement au début lorsque Emma a écrit “Thoughtforms”, cela m’a certainement fait penser que je devais m’inclure dans la pensée du groupe”.

En 1989, le groupe signe chez 4AD et enregistre Scar, un mini-album de six pistes. Les éloges critiques pour Scar et une émission live populaire ont établi Lush comme l’un des groupes écrivant les meilleures parole de la scène indie britannique de la fin des années 1980 et du début des années 1990. Peu de temps après, la presse musicale britannique les a labellisés “shoegazing”. L’année suivante, les EP Mad Love (produit par Robin Guthrie des Cocteau Twins) et Sweetness and Light (produit par Tim Friese-Greene) sont parus. Les trois titres ont finalement été combinés dans l’album de compilation Gala, qui a été produit principalement pour les marchés américain et japonais. Précédé par le mini album Black Spring publié en octobre 1991, le premier album de Lush, Spooky, a été publié en janvier 1992.

Spooky (1992) : Encore produit par Robin Guthrie, Spooky présente un son très semblable au groupe Cocteau Twins, avec un mur de son puissant (formule de production musicale très Wagnérienne développée par le producteur américain Phil Spector chez Gold Star Studios dans les années 1960) et une grande quantité d’effets de guitare. Spooky a atteint le Top 10 du Royaume-Uni et s’est classé dans les charts indie nationaux. L’album a produit trois singles: “Nothing Natural”, “Superblast!” et “For Love”. En 2016, Pitchfork a classé l’album à la 27ème place dans sa liste des “50 meilleurs albums Shoegaze de tous les temps”. Les thèmes musicaux sont lyriques, évoquant des rêves brumeux et lointains hantées d’amis perdus depuis longtemps, guidés par les voies envoûtantes des chanteuses guitaristes Emma Anderson Et Miki Berenyi.

Split (1994) : Deux singles sont tirés de l’album: “Desire Lines” et “Hypocrite”, tous deux sortis le 30 mai 1994. Lush savait qu’il était capables de mieux faire après le disque décent mais imparfait qu’il avait sorti deux ans plus tôt, mais il est peu probable que ses membres aient pu prédire à quel point ce disque serait superbe. La voix haut perchée de Miki Berenyi a une portée, un pouvoir de suggestion et une présence accrues. La batterie de Chris Acland propulse et souligne le son du groupe bien plus qu’avant, encore appuyé par le nouveau bassiste Phil King. Le producteur Mike Hedges a su exactement ce qu’il fallait faire avec le groupe, en ajoutant la grâce et l’équilibre qu’aucun autre n’aurait pu trouver auparavant. Berenyi transmet efficacement la nature profonde chargée des turbulences émotionnelles des paroles. “Blackout” et “Hypocrite” prouvent la capacité du groupe à être plus agressif, jetant les bases sonores du prochain album Lovelife. Le titre “Lovelife” est quant à lui la symbiose idéale entre la voix, la musique et les paroles du duo Miki Berenyi/Emma Anderson à son apogée créative.

Lovelife (1996) : Lovelife est le dernier album studio du groupe de rock alternatif anglais Lush. Sur cet album, le groupe s’est éloigné de son style “shoegazing” antérieur et a adopté un son plus rock alternatif. L’album a été produit par Pete Bartlett et le groupe chez Protocol Studios à Londres, et conçu par Giles Hall. Lors de sa sortie, il a atteint la huitième place des charts britanniques.

Ciao! The Best of Lush (2001) : est une compilation du groupe Lush. Ce CD est sorti presque cinq ans après la dissolution du groupe et le suicide du batteur Chris Acland. Cette compilation est dédié à sa mémoire.

Discographie : 

1992 : Spooky
1994 : Split
1996 : Lovelife
2001 : Ciao! The Best of Lush

Voir sur YouTube : “Lush – Lovelife (Live)” par rrn3000 ; “Lush – Desire Lines (Official Video)” ; “Lush – Single Girl” ; “Lush – Ladykillers (Official Video)” ; “Lush – Sweetness and Light (Official Video)” ; et “Lush – 500 (Shake Baby Shake) (Official Video)” par 4AD

 

Youngtimer – Ferrari F355 (1994-1999)

Envoûtante, douce et rageuse, la Ferrari F355, qui assura la succession de la 348, possédait au plus haut niveau tous les attraits de la séduction. Capable d’assurer un usage quotidien grâce à sa souplesse en ville, elle révélait un tout autre visage lorsque se déchaînait son extraordinaire moteur V8 de 380 ch. C’est resté une voiture attachante, qui se conduit avec une certaine facilité, nettement plus docile que la 348 dont le comportement routier était réputé survireur jusqu’au millésime 1992.

5 soupapes par cylindre :

La F355 est un coupé à moteur V8 à 90° en position longitudinale centrale arrière dérivée de la Ferrari 348, dont elle partage la base. Son V8 de 3,5 litres et 380 ch est aussi le premier moteur de la marque à disposer de 5 soupapes par cylindre, (trois soupapes étant réservées à l’admission et deux à l’échappement, toutes avec des poussoirs hydrauliques) ce qui explique par ailleurs sa dénomination : 355 pour 3,5 litres de cylindrée, et 5 pour le nombre de soupapes par cylindre. C’est également la première Ferrari à proposer en option une boîte séquentielle F1 à commande au volant, technologie héritée de la Formule 1 avec quatre réglages : le mode Auto, Low grip, Normal et Sport. Enfin, l’amortissement est piloté et dispose de deux modes : normal ou sport.

Modèles et présentation :

Lors de son lancement, deux modèles étaient disponibles : le coupé Berlinetta et le coupé de type targa GTS. La version cabriolet baptisée Spider a été présentée en 1995. Une version “Challenge” destinée à la compétition fut construite à seulement 109 exemplaires, dont quelques-uns furent immatriculés. La fin des modèles F355 fut marqué par la construction d’une série limitée de 100 modèles « Serie Fiorano », essentiellement des Spider identifiables par la plaque numérotée fixée sur le tableau de bord. La F355 a été dessinée par Pininfarina. Parmi les changements cosmétiques de ce modèle, on notera la suppression des feux occupant l’entière largeur du panneau arrière façon Testarossa, remplacés par les quatre phares ronds chers à la marque et la suppression des grilles latérales. La belle est aussi équipée de nouvelles jantes 18 pouces à cinq branches en magnésium.

Caractéristiques Techniques : 

Moteur : V8 à 90°, 3,5 litres, 40 Soupapes ; Position du moteur : Longitudinale centrale arrière ; Cylindrée : 3 496 cm3 : Puissance maximale : 380 ch à 8250 tr/min ; Couple maximal : 360 Nm à 6000 tr/min.
Transmission : Propulsion ; Boîte de vitesses : Manuelle 6 rapports.
Poids et performances : Poids à vide : 1350 kg ; Vitesse maximale : 294 km/h ; Accélération : 0 à 100 km/h en 4,7 s ; Consommation mixte : 15,2 L/100 km.
Châssis Carrosserie : Coupé 2 portes. (Targa et Cabriolet).
Suspensions : Triangles superposés.
Freins : Disques ventilés AV/AR : 300/305 mm.
Dimensions : Longueur : 4250 mm ; Largeur : 1900 mm ; Hauteur : 1170 mm ; Empattement : 2450 mm ; Voies AV/AR : 1514 mm/1615 mm ; Volume du coffre : 149 dm3.

Encore abordable à l’achat d’occasion, son entretien quant à lui est bien-sûr excessivement onéreux comme pour toute Ferrari qui se respecte ; comptez 7000 € tous les 5 ans pour le changement des courroies de distribution chez le concessionnaire (moitié moins chez un indépendant), 5000 € pour un échappement, 600 € pour 4 nouveaux pneus… 

Prix du modèle neuf en 1994 : 735.000 F soit 155.253 € avec 38,6 % d’inflation.

Côte actuelle : à partir de 40.000 €.

À lire sur Echoretro : Spécial Ferrari vintage (1957-1992) – Dix modèles prestigieux

Photo de présentation haut de page : Ferrari F355 Fiorano.

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